« Après un bac littéraire, je me suis inscrite en prépa littéraire, à st Ex.
J’avais comme projet d’entrer à l’ISIT (l’Institut Supérieur d’Interprétation et de Traduction). Sachant que St Ex et l’ISIT étaient liés par une convention, j’ai pensé que c’était une bonne idée. Mon niveau d’allemand étant encore trop faible à la fin de la khâgne, j’ai décidé de khûber… oui, oui, refaire ma khâgne. La bienveillance des enseignants , l’entre-aide entre les élèves et l’acharnement ont fini par payer. À St Ex, nous avons la chance d’être peu nombreux, ce qui facilite grandement l’apprentissage. Libre à nous de nous investir vraiment ou non, dans tous les cas, le nombre restreint nous force à nous exprimer et à aller au-delà de nos limites.
Aujourd’hui, alors que je finis mon stage de sous-titrage et adaptation multilingue, je récolte les fruits de la prépa : je travaille vite, avec beaucoup d’application (dixit mon maître de stage) et beaucoup d’assiduité.
Alors, quitte à mettre deux, voire trois ans de sa vie sociale un peu entre parenthèses, la prépa est une bonne chose pour affiner un projet, ou tout simplement, améliorer ses méthodes et ses capacités de travail. »
Eléonore Bertrand-Queruel
Merci à Eléonore pour ce témoignage concis et efficace. Nous vous rappelons que cette convention existe depuis plusieurs années et qu’elle nous a permis de placer tous nos étudiants volontaires. La convention suppose un dossier monté par l’équipe de professeurs des matières concernées et une lettre de recommandation prenant en compte résultats et attitude tout au long du cursus. L’ISIT reste une très belle opportunité pour des étudiants à l’aise dans les langues et qui sont attirés par les carrières à l’international, dans le management culturel ou par les professions très variées en rapport avec les langue: traduction, interprétariat, doublage…
