Bonjour à tous,
C’est donc le premier article que j’écris sur la thématique du climat qui m’intéresse particulièrement car j’estime que nous avons tous notre responsabilité dans ce domaine en tant que citoyen mais surtout en tant qu’être humain. Cela impacte nos comportements mais aussi nos modes de vie quotidiens.
Dans ma filière d’étude (économique), le climat et l’environnement sont des sujets fondamentaux qui sont corrélés aux enjeux de la croissance future. En effet, les politiques actuelles s’intéressent de plus en plus à cette perspective du climat dans un contexte où l’épuisement des ressources naturelles, qui sont grandement utilisées à l’échelle mondiale, est envisageable. Ainsi, un consensus est souhaité et souhaitable afin de pouvoir soutenir la production de richesses tout en évitant de compromettre la qualité de vie des populations mais également et surtout de préserver la planète.
Nous pouvons dire qu’il y a un certain encadrement de ces débats, notamment lors des conférences annuelles qui promeuvent des accords en faveur du climat. La dernière en date est celle de Katowice en Pologne, en décembre 2018. Nommée aussi COP24, celle-ci a été particulièrement symbolique du fait du visage qui la représentait : Greta Thunberg, une jeune adolescente suédoise, fortement impliquée dans l’écologie, a mis en avant la nécessité d’agir au plus vite et de cesser de se trouver des excuses qui empêchent de limiter les conséquences néfastes du réchauffement climatique qui, on le voit, est bel et bien présent. Je trouve d’ailleurs l’une de ses phrases tout à fait forte et symbolique : « le vrai pouvoir appartient au peuple ».
Il y a une volonté de rassemblement autour de cette cause, de combat et surtout d’union en faveur d’une solution pour notre propre bien. En écrivant, c’est également ce que j’aspire à faire : sensibiliser un maximum de lecteurs, aussi jeunes soient-ils, autour de cette question qui, je le rappelle, est un véritable enjeu (et pas seulement dans le champ politique). La notion d’ambition est donc incontournable dans ce processus et je pense qu’elle permet d’agir plus efficacement avec une vision sur le long terme. Cela renvoie aussi à la volonté de modifier nos structures de vie, dans lesquelles nous sommes bercés et habitués à vivre mais qui ne sont malheureusement pas durables indéfiniment. La recherche d’une solidarité citoyenne nationale mais également internationale conduit à envisager sans crainte le changement sans nous cantonner à nos modes de vie actuels.
Dans mon prochain article, j’élargirai davantage le champ de cette réflexion en essayant de mettre en lumière les débats que l’on relève autour de cette question, qui suscitent différents points de vue et font de ce sujet l’un des plus importants mais également des plus complexes de notre époque.
Imane LAAL, Prépa ECE1
