Thibault Cieslak a passé son Bac au Lycée de Magnanville et a intégré notre Hypokhâgne en septembre 2018.
En septembre 2019, c’est le campus de l’IEP de Saint-Germain-en-Laye qu’il va rejoindre après une année à cent à l’heure où il a dû concilier le travail de la Prépa et la préparation du concours dans le cadre du partenariat qui permet à nos étudiants volontaires de disposer de quatre heures d’entraînement supplémentaire en Histoire, Questions Contemporaines et Langues; de participer au stage intensif de février sur le campus de l’École; d’avoir accès aux cours mis en ligne par l’IEP. Vous trouverez ci-dessous le témoignage d’un étudiant que nous regrettons déjà!
J’ai découvert l’existence des CPGE de Saint-Ex en classe de Première. J’étais à l’époque davantage intéressé par la filière EC mais je me suis penché sur la formation littéraire car elle a l’avantage de proposer un partenariat de grande qualité avec l’IEP de Saint-Germain-en-Laye. N’ayant pas obtenu mon concours de Sciences Po-Paris en Terminale, j’ai finalement pris la décision de rejoindre une Hypokhâgne après mon bac. Sans cela, je n’intégrerais pas Sciences Po à la rentrée prochaine.
Bien évidemment, répondre aux exigences de mes professeurs n’a pas toujours été simple. Mais grâce à leur bienveillance et à leur excellence, j’ai pu largement tirer profit d’un enseignement sur lequel mon regard a largement évolué au cours de l’année.
De plus, le regard de mes professeurs m’a énormément apporté pour intégrer un Institut d’Études Politiques. C’est une école que je souhaitais réellement rejoindre pour la pluridisciplinarité des enseignements qu’elle propose et pour son ouverture sur le monde. Et grâce à la classe préparatoire de Mantes-la-Jolie, ce souhait devient réalité.
Je garde de très bons souvenirs, notamment le voyage à Rome en février 2019 qui m’a permis de découvrir l’Italie avec des camarades de classe géniaux. Si je devais revenir sur des moments moins positifs, je pourrais parler des veillées tardives pour terminer des devoirs à rendre pour le lendemain. Mais bien souvent, ce genre de situation est le résultat d’un défaut d’organisation et ils permettent de souder des amis entre eux. Je garde donc très largement une impression positive de cette année en Hypokhâgne.
Il s’ouvre maintenant devant moi un avenir plein de découvertes et je vais pouvoir réfléchir à ce que je souhaite faire après Sciences Po. »
